Création 2024 Première. Cie Les Bienveillantes. L’homme qui plantait des arbres, d’après J. Giono, augmenté de poèmes de Jules Supervielle, Tomas Tranströmer, Roberto Juarroz. Jeu François Périssat. Mise en scène Arnaud Frémont. Théâtre dès 10 ans. L'Arantelle, festival à l'auberge de la grand'route

L'Homme qui plantait des arbres est une nouvelle écrite en 1953 par l'écrivain Jean Giono pour « faire aimer à planter des arbres », selon ses termes. L’histoire d’un homme ordinaire qui s'est donné pour mission de redonner vie à une contrée qui se meurt de sécheresse. Pour cela, il plante des arbres. Cette histoire fictive est devenue une parabole de l'action positive de l'homme sur son milieu et de l'harmonie qui peut s'ensuivre. Giono veut nous montrer qu'un homme peut accomplir des choses extraordinaires en faisant preuve de patience et de détermination. Une ode au travail, à l'opiniâtreté, à la patience, à l'humilité, et à la ruralité. « Il y a d’un côté la fable de Giono, le cycle long, où l’on assiste au lent et opiniâtre labeur d’un homme qui fait pousser une forêt et fait renaître l’activité humaine au sein d’une région. Une belle histoire. Et de l’autre, notre réalité contemporaine, la guerre qui ne sert pas de leçon, le déni assez général face à une planète qui réagit aux mauvais traitements, une technologie effrénée qui ne se met pas au service de la vie, qui aurait même tendance à détériorer les liens… le tout mené par une absence de véritable politique qui chercherait sérieusement à endiguer la catastrophe. Le propos du texte écrit dans les années 50 conserve toute son actualité. En cette époque dans laquelle certains idéaux et utopies sont mis à mal, il est vital de garder espoir et de croire en la fable. C’est à une plongée dans la forêt de l’âme humaine que la compagnie Les Bienveillantes vous convie, dans son lien à ce qui nous environne, et nous offre un monde viable et vivable. » L’homme qui plantait des arbres, d’après le roman de Jean Giono, augmenté de poèmes de Jules Supervielle, Tomas Tranströmer, Roberto Juarroz. Jeu : François Périssat. Mise en scène : Arnaud Frémont. Lumière : Manolo Guízar. Production : Cie Les Bienveillantes L-R-21-010341. Soutiens financiers : Ville de Poitiers, Département de la Vienne. Accueils en résidence : L’Arantelle, La Passerelle, Scène conventionnée de Thouars, CSC La Blaiserie, Scènes Nomades, Théâtre des Carmes. Photo : Théophane Bouyer

Rens : Infos : www.passerelle86.fr ; Billetterie : https://www.vostickets.net/LA_PASSERELLE